



La Ferme des Animaux
Un conte de fées
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4,5 • 290 notes
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Description de l’éditeur
Nouvelle traduction du texte de George Orwell.
À la Ferme du Manoir, le vieux Major, un vénérable cochon, décrit aux autres animaux un avenir meilleur, où ils seront débarrassés de l’oppression humaine et ne travailleront plus que pour leur propre bénéfice.
Pour cela, ils doivent participer à la Rébellion, qui renversera les humains et installera la République des Animaux. Mais tout ne se passe pas comme ils l’avaient imaginé…
Les péripéties des animaux dans leur lutte pour la liberté mettent en lumière les mécanismes qui pervertissent les idéaux originels et permettent l’avènement, petit à petit, d’une nouvelle domination.
Avis d’utilisateurs
Sans voix
Ce livre de George Orwell m’a laissé bouche bée à plusieurs reprises. Un des moments les plus marquants pour moi a été lorsque les cochons se sont tenus sur leurs deux pattes. J’étais littéralement stupéfaite, la bouche grande ouverte. Orwell illustre avec une précision glaçante comment la soif de pouvoir peut aveugler au point de faire oublier toutes les valeurs initiales. Voir les animaux suivre aveuglément les cochons, oublier les événements passés et accepter sans questionner les réécritures de l’histoire m’a complètement sidérée. Ce livre m’a retourné le cerveau du début à la fin !
Touchant, effrayant, belle écriture !
J’aime le style de l’écriture, cette histoire est touchante et a la fois effrayante. Ça fait réfléchir sur notre société, une bonne remise en question et une bonne claque tout du long. J’ai adoré
Il est désormais impossible de les distinguer.
Jalousie, soif de pouvoir, dictature.. c’est bien ça qui définit nos “démocraties” actuelles, et comme l’a bien décrit l’auteur “tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que d’autres”, que c’est bien un groupe certes semblable à d’autres qui est au dessus de la chaîne, et que tout ce cheminement, n’est autre qu’un cercle infini. Et bien sûr à la fin, les cochons deviennent semblables aux humains, vu qu’après, ils ont juste suivi le même processus.
Malheureusement ce que je proteste à l’auteur, c’est de ne pas avoir donné plus de bon sens aux autres animaux de la ferme, qu’ils puissent réfléchir par eux même et en ayant confiance aux convictions internes qu’ils avaient, ils auraient pu empêcher ce dérèglement de chaîne qui malheureusement, leur a mené à la case départ.